Le livre Simplicité et Minimalisme de Marc Halévy
C’est la saison estivale! J’en profite pour faire le plein de lectures divertissantes, car j’entamerai ma dernière année d’université cet automne, yay! Du même coup, je peux vous donner mon avis sur ces lectures pour vous orienter lorsque vous allez à la bibliothèque.
Donc, dernièrement j’ai lu le livre Simplicité et Minimalisme, écrit par Marc Halévy en 2011. C’est un court documentaire d’environ 150 pages.
Le sujet de cette œuvre est le minimalisme abordé d’une manière philosophique, si je peux me le permettre. Pour faire une histoire courte, je n’apprécie pas vraiment la philosophie. Je n’ai jamais été capable de me mettre dans cet état d’esprit, mais je sais que certaines personnes ADORENT cela.
Donc, si vous adorez la philosophie, vous allez estimer ce livre. Pour les autres, vous pouvez continuer de lire mes commentaires, puis vous verrez ensuite s’il risque de vous plaire!
Ici, il est possible de lire une définition de la simplicité pratique et de la simplicité. Cet extrait vous permet de voir un peu plus la manière dont l’auteur écrit.
Le rythme du texte est lent. Vu que plusieurs passages sont abordés philosophiquement, j’ai souvent dû relire les passages pour mieux comprendre ce que l’auteur souhaitait dire. Plusieurs fois dans le livre il est question de conscience, d’esprit, de raison, de la pensée, de l’esprit cosmique et de l’âme. Bref, si mes souvenirs sont bons, ce sont clairement des sujets philosophiques qui demandent une certaine connaissance en la matière.
Il y a aussi plusieurs questionnements sur différentes composantes du minimalisme. Des questions qui demandaient beaucoup de réflexion, ce qui faisait en sorte que la lecture était difficile.
Le minimalisme est abordé de manière très profonde. C’est une lecture qui n’est pas adressée à tous types de lecteurs. Il faut avoir une relation avancée avec le minimalisme.
Un passage que j’ai moins aimé: l’Amour. J’ai lu en grande diagonale ce passage.
Je conseille ce livre pour les personnes qui vivent la simplicité volontaire de manière spirituelle plus que matérielle.
Juste pour vous donner une petite idée, j’ai sauté les chapitres 8 et 9 (qui étaient les deux derniers chapitres du livre). Le chapitre 8 abordait le désencombrement de l’âme et mentionnait plusieurs fois la religion catholique, les croyances et Dieu, ce que je n’ai pas apprécié du tout.
Bref, la lecture s’est mal terminée et ce livre ne m’a laissé ni chaud ni froid. Même que je dirais qu’il m’a déçu et que ce n’était pas du tout mon genre littéraire.
Je voulais quand même vous partager mes commentaires, car vous étiez plusieurs à vouloir connaître mon opinion dessus!